Recette « Ce week-end, j’épate ma belle-mère » – Soufflet au fromage

100% des produits sont en magasin

Ingrédients pour 4 personnes :

  • 150g de fromage (j’ai pris de la tomme au foin)
  • 100g de beurre
  • 7 œufs
  • 0,5L de lait
  • 80g de Farine
  • Sel, poivre

1-Faites préchauffer le four à 180°

2-Séparez les jaunes et les blancs des œufs.

3- Faire fondre le beurre. Ajoutez en une fois la farine et remuez bien. Incorporez le lait chaud en plusieurs fois puis ajoutez le fromage râpé.

Hors du feu, ajoutez les jaunes d’œufs.

Ajoutez du sel et du poivre à votre convenance.

3-Ajoutez une pincée de sel dans les blancs et battez-les en œufs à la neige. Ils doivent bien se tenir c’est-à-dire qu’ils doivent accrocher aux fouets de votre batteur.

4-Incorporez les blancs dans votre préparation (en plusieurs fois) et remuez délicatement pour ne pas casser les blancs (du bas vers le haut).

5-Mettez au four pendant 25-30mn

Tindiiiiiiinnnnn !! Vous êtes le/la Magic Johnson du soufflet!  Votre belle-mère est heureuse 🤤 😍

Bon appétit.

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Recette, « J’ai du temps mais j’ai pas que ça à faire » – Risoni façon risotto

Ingrédients pour 2 personnes :

Préparation : 20mn

  • 250g de risoni (ou plus pour les gourmands)
  • 1L de bouillon de légumes
  • 1 oignon jaune
  • 1 chou-fleur (ou autre chou selon vos goûts)
  • Un verre de vin blanc
  • 1 gousse d’ail
  • 2 belles poignées d’épinards
  • Sel, poivre, huile d’olive

1- Ciselez finement l’oignon (en petits carrés) et hachez la gousse d’ail. Retirez les feuilles du chou-fleur et séparez les têtes (gardez le tronc pour faire un autre repas comme une purée).

2-Faites chauffer un bon filet d’huile d’olive dans une poêle bien chaude. Mettez les oignons, l’ail, et du sel. On remue jusqu’à ce qu’ils deviennent translucides puis ajoutez le chou-fleur.

3-Remuez quelques minutes puis ajoutez les pâtes. Mélangez quelques minutes puis déglacez avec un verre de vin blanc.

4-Remuez jusqu’à évaporation totale. Ajoutez un peu de bouillon (comme un risotto) et remuez. Dès que le bouillon est absorbé, vous pouvez en rajouter (renouvelez l’opération dès absorption).

5-Au bout de 8-10mn, vous pouvez ajouter les épinards.

Ajoutez encore du bouillon jusqu’à ce que les pâtes soient cuites.

6-Assaisonnez avec du sel et du poivre (et piment si vous aimez ça).

Il faut que cela soit crémeux pour être le plus gourmand possible.

Vous pouvez râper du fromages (parmesan, comté…) ! C’est prêt !!!!!!! Régalez-vous 

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Recette « J’ai vraiment pas le temps de cuisiner » – Cocotte de choux à la moutarde

  • Ingrédients pour 4 personnes
  • Préparation : 10mn
  • Cuisson : 10mn
  • 2 choux (Romanesco, brocoli ou chou-fleur)
  • Crème fraîche 25cl
  • Moutarde à l’ancienne

Vous pouvez retrouver 100% des produits en magasin.

Taillez les choux en petits morceaux dans une cocotte avec de la crème fraîche. Si vous utilisez la crème fraiche du magasin pour avoir le meilleur goût possible, ajoutez un peu d’eau pour avoir de la fluidité.

Ajoutez du sel et du poivre à votre convenance.

Faites cuire pendant 10mn à feu doux et à couvert.

Plantez un couteau dans les légumes, ils doivent être tendres. Ajoutez la moutarde, mélangez et « A taaaaaable » !!

Pour les plus gourmands, vous pouvez accompagner votre plat d’une viande ou d’un poisson.

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Recette « Ce week-end, j’épate ma belle-mère » Chou-fleur rôti et Yaourt

Ingrédients pour 2 personnes

100% des produits sont en magasin :

  • 1 beau chou-fleur
  • 100g de beurre
  • 1 poignée de sésame
  • 1 citron jaune
  • 1 poignée de graines de tournesol
  • Ail et gingembre
  • Fleur de sel, poivre
  • 3 cas de saucé tahini
  • 200g de yaourt

1-Coupez le chou-fleur en deux en gardant les feuilles (si, si, c’est trop bon). On badigeonne d’huile d’olive, sel, poivre de chaque côté.

2-Placez au four pendant 45mn à 180 degrés.

3-On ajoute dans un saladier, le yaourt, le citron et la sauce tahini. On ajoute la fleur de sel et le poivre et on mélange.

4-A mi-cuisson, on retourne les morceaux de chou-fleur.

5-En parallèle, râpez la gousse d’ail et un peu de gingembre. On va faire torréfier tout cela dans une poêle (c’est-à-dire qu’on ajoute aucune matière grasse) avec les épices, cébettes, sésame et les graines de tournesol.

6-On ajoute ensuite le beurre (attention de ne pas faire brûler le beurre ou utiliser du beurre clarifié).

C’est l’heure du dressage !! (déjà ??? et oui !!).

7-Dans une assiette, mettez la sauce puis posez dessus le chou-fleur et on verse notre petit beurre.

Tindiiiiiiinnnnn !! Vous êtes le/la Magic Johnson du chou-fleur ! Votre belle-mère est en transe de plaisir gustatif

Bon appétit.

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Comment bien choisir sa crème solaire.

Sur la plage abandonnée, coquillages et crustacés…aaaaaah le soleil, le farniente, les cocktails, comme on en rêve après cet hiver bien froid.

Et ça tombe bien, l’été arrive à grands pas, notre ami le soleil va faire son grand retour…mais ami ou ennemi ce soleil ?

Il est prouvé que s’exposer entre 15 et 30 minutes par jour au soleil suffit à activer la synthèse de la vitamine D (grâce aux UVB). Cette vitamine D participe à la production d’anticorps et renforce notre système immunitaire.

Le soleil permet également la production de mélatonine, hormone nécessaire qui favorise l’endormissement (sauf si vous avez un bébé qui ne fait pas ses nuits, hein, on se comprend 😉).

Mais le soleil, c’est prouvé, donne le moral ! et oui, qui n’a pas une banane d’enfer quand il y a un beau soleil, une envie d’aimer la terre entière et de se prendre pour Jenifer en chantant « Au soleil, m’exposer un peu plus au soleil… »

Alors, vous vous dites « Mais c’est génial ! je savais bien que c’était bon pour la santé de faire carpette sur la plage toute la journée 😃😃. C’est décidé, cet été, je ne décolle pas de la plage ».

Hop hop, papillon, le soleil a beaucoup de bienfaits, certes, mais il n’est pas qu’un ami.

Il est démontré que 3% des cancers dans leur ensemble sont liés à l’exposition aux rayons ultraviolets qu’ils soient naturels ou artificiels (cabines de bronzage).

Les ultraviolets, vous savez UVA et UVB. Bon alors, ils sont sympas à petites doses mais à grandes doses (expositions longues donc la carpette sur la plage pendant des heures), c’est carrément l’effet inverse. Genre, ils deviennent l’incroyable Hulk pas content et s’attaquent aux molécules d’ADN (surtout les UVA).

Les UVA (95% des ultraviolets), c’est simple, ils ont le super pouvoir de pénétrer la peau. Ils permettent donc de bronzer mais également, ils génèrent des radicaux libres (lors d’expositions plus longues), ce qui détruit le collagène et les fibres élastiques du derme et bien sûr, ils sont responsables des cancers cutanés.

Les UVB (5% des ultraviolets) sont à l’origine des coups de soleil c’est-à-dire qu’ils génèrent une inflammation de la peau et sur le long terme, peuvent générer le mélanome (cancer).

Il est donc obligatoire de protéger notre peau et c’est là que les crèmes solaires entrent en scène.

On pourrait croire que l’article est terminé mais NON ! En effet, parce qu’être en bonne santé, ça n’intéresse personne (enfin si, nous), les crèmes solaires sont également composés de pleins de cochonneries qui peuvent aussi générer des cancers.

La crème solaire va jouer le rôle de filtre des UV. Il existe deux types de filtres :

  • Les filtres de synthèse
  • Les filtres naturels

Les filtres de synthèses pénètrent la peau et absorbent les UV.

Les filtres minéraux (naturels) forment une protection sur la peau et réfléchissent les UV.

Il existe 2 filtres minéraux : l’oxyde de Zinc et le dioxyde de titane.

Les filtres de synthèse, et comme beaucoup de produits chimiques, ne sont ni anodins pour l’environnement, ni pour la santé sur le long terme.

Vous êtes prêts à sortir les lunettes de vue et à scruter les étiquettes de vos crèmes solaires ?

Voici les ingrédients à éviter absolument car toxiques pour la santé et l’environnement :

  • L’exthylhexyl méthoxycinnamate (perturbateur endocrinien)
  • L’octocrylène (génotoxique, cancérigène car il se transforme en benzophénone)
  • Le 4-méthylbenzylidène camphor (4-MBC) ayant des effets sur la faune aquatique et également perturbateur endocrinien
  • L’homosalate (pollue les eaux et risque pertubateur endocrinien)
  • Les nanoparticules d’oxyde de zinc et dioxyde de titane (cancérigène)
  • Le cyclohexasiloxane ou D6 ou dodecamethylcyclohexasiloxane (dérivé de silicone)
  • Cyclopentasiloxane ou D5 ou dodecamethylcyclopentasiloxane (perturbateur endocrinien)
  • BHT (perturbateur endocrinien)
  • le phénoxyéthanol (toxique pour le sang et le foie)

C’est fini ? non mais je vous épargne les conservateurs, les parfums…

Et là, vous avez mal à la tête de tous ces noms mais vous me dites « Oh la mais dans les produits controversés, il est indiqué oxyde de zinc et dioxyde titane ! mais ce ne sont pas des filtres naturels ???? ».

L’oxyde de zinc et le dioxyde de titane sont des filtres naturels présents dans les crèmes solaires bio.

Toutefois, ces filtres donnent le côté blanc qui restent sur la peau et qui n’est pas très esthétique.

Pour éviter cela, on a fait des nanoparticules (molécules artificielles de très petites tailles) pour permettre de mieux étaler la crème et ne plus avoir cet aspect blanc qui persiste sur la peau.

Or, les nanoparticules notamment de dioxyde de titane sont controversés car ils sont si petits, qu’ils passent la barrière cutanée et pénètrent dans l’organisme.

Ils sont classés comme cancérigènes s’ils sont inhalés (comme des crèmes solaires en spray), avalés et en contact avec la peau.

En revanche, lorsqu’il n’est pas en nanoparticules, les particules de dioxyde de titane seraient trop grosses pour rentrer dans la peau.

Il est donc indispensable de ne pas choisir une crème solaire avec la notion de nano pour le dioxyde de titane.

BON !! On fait quoi maintenant ???

On a fait simple chez Les Engagés et on a sélectionné pour vous la meilleure crème solaire notée 100/100 par Yuka et A par UFC Que Choisir.

Welcome à la marque Aùn, crème solaire 100% française, 100% clean et 100% naturelle.

Crème sans perturbateurs endocriniens, sans dioxyde de titane, sans allergènes, sans substances nocives.

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Consomer local, bio et de saison

On entend tous les jours qu’il est important de consommer bio, local, de saison… avec tout ça on s’y perd.

On peut se demander si ce ne sont pas que des foutaises pour nous faire payer plus ou tout simplement, un effet de mode.

Pourtant, aujourd’hui, il est vital de consommer des fruits et légumes de saison et de soutenir l’économie locale et même nationale.

Pourquoi consommer de saison ?

Naturellement, les fruits et légumes ne poussent pas n’importe quand dans l’année. Alors si vous voyez des tomates au supermarché en plein hiver, posez-vous des questions… D’où viennent-elles ? et surtout comment sont-elles produites ?

Nous sommes responsables de notre consommation et de ce fait, responsable de ce qui est produit.

Consommer de saison, c’est respecter les cycles naturels de la nature mais aussi du corps humain.

Alors oui, on sait, c’est dur de ne pas craquer quand on voit toutes ces belles fraises en plein mois de décembre mais comme dirait notre chère France Gall : RESISTE (c’est pour votre bien vous verrez).

En effet, la consommation naturelle de saison a de nombreux bienfaits :

Elle est bénéfique pour l’organisme 

Dame nature ne fait rien au hasard… Le corps humain a des besoins nutritifs différents en fonction des saisons.

En hiver, avec le froid et le manque de soleil, notre corps réclame plus de nutriments et de vitamines C. Heureusement, la nature est bien faite puisque c’est précisément la saison des légumes riches en minéraux (poireaux, choux, épinards) et des agrumes pleins de vitamine C (mandarines, pamplemousses, clémentines).

A l’inverse, en été, avec la chaleur, notre organisme dépense moins de calories mais demande plus d’eau. Les fruits et légumes d’été en sont remplis (pastèque, concombre, melon etc.). De quoi bien se rafraichir pendant un pique-nique !

Les Engagés publient chaque mois sur instagram et facebook, les fruits et légumes du mois pour vous aider à consommer de saison sans vous tromper (lesengages_epicerielocale).

Elle est plus écologique :

Manger de saison permet de lutter contre l’utilisation d’engrais chimiques sur nos terres agricoles. Même s’ils peuvent être cultivés en France, les fruits et légumes hors saison nécessitent des conditions particulières (cultures industrielles avec des pesticides, des antigels, sous serres, etc.) qui détruisent les sols. Les serres doivent être chauffées et ventilées 24h/24 (cherchez l’erreur), mais aussi éclairées ce qui, vous l’imaginez bien, génère un énorme gaspillage d’énergie.

Enfin, l’utilisation des pesticides est un désastre pour la biodiversité, en particulier les abeilles, essentielles à notre alimentation. Et on ne voudrait surtout pas qu’elles disparaissent.

Elle est meilleure pour la santé :

En matière de santé, manger de saison n’a que des avantages :

Les fruits et légumes de saison sont plus riches en antioxydants. Ces molécules luttent contre les agressions ciblant nos cellules : le tabac, le stress, la pollution etc.

Les végétaux produisent également des antioxydants pour se défendre contre des agressions externes, comme le soleil, les insectes, etc. En présence de pesticides, les végétaux n’ont plus d’utilité à produire ces antioxydants pour se protéger, puisque les pesticides le font à leur place.

En gros plus votre légume/fruit est indépendant plus il le transmettra à votre corps, et plus vous pourrez lutter naturellement contre certaines maladies et bactéries.

Elle a meilleur goût :

Votre maquillage sera toujours plus joli si vous avez pris le temps de vous maquiller avant de partir au lieu de le finir dans la voiture entre 2 dos-d’ânes. Et bien les fruits et légumes de saison c’est comme le maquillage: ils auront plus de chance d’avoir mûri au soleil et seront donc plus savoureux que les fruits et légumes qui arrivent à maturité pendant le transport.

Vous pourrez profiter ainsi du goût, des vitamines et de tous leurs bienfaits. Entre nous, il n’y a aucun plaisir à manger des fraises sans goût devant un feu de bois.

Elle est plus économique :

Faites des économies, mangez de saison ! On se rend rarement compte de l’énergie nécessaire au chauffage des serres de culture hors saison ; c’est un coût énorme qui est nécessairement répercuté sur le prix de vente.

Prenons la tomate comme exemple : dans le Sud de la France, elle est récoltée dès le mois de juin. C’est à ce moment-là que son prix commence à baisser. Dès la mi-août, son prix est au plus bas car l’abondance des récoltes, même en bio, fait chuter les prix du marché. En bref, vous mangez une tomate meilleure : en goût, pour la santé et moins chère. Que demander de plus ?

Les impacts de ne pas consommer de saison :

Gardons l’exemple de la  tomate : consommée hors saison, elle génère quatre fois plus d’émissions de gaz à effet de serre qu’en saison. 75 % des Français déclarent consommer des tomates en hiver alors qu’une tomate produite en France sous serre chauffée émet huit fois plus de gaz à effet de serre qu’une tomate cultivée en France en saison, et quatre fois plus qu’une tomate importée d’Espagne.

Les fraises connaissent le même sort, et leur production hors saison entraîne 40 % d’émissions de gaz à effet de serre de plus.

Sachant que 25% des émissions de gaz à effet de serre d’un Français sont liées à l’alimentation, devant même les transports et le logement, nous disposons tous d’une réelle capacité d’action sur le changement climatique ! Les fruits et légumes retrouvés hors saison sur les étals proviennent bien souvent d’une culture sous serre, où ils ont été traités chimiquement pour pouvoir pousser. Quand ils ne

proviennent tout simplement pas de l’autre bout du monde, comme la fameuse banane martiniquaise que l’on retrouve toute l’année à Paris.

Pour consommer de saison aujourd’hui, c’est simple : rejoignez Les Engagés qui sélectionnent les meilleures productions de saison, locales et à un prix juste. Plus besoin de se prendre la tête pendant les courses pour savoir si tel ou tel légume est bon pour la santé et pour la planète.

Évidemment ce mode de consommation est étroitement relié avec les achats en circuits courts.

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Circuit court

Qu’est ce qu’un circuit court ?

Un circuit court est un mode de commercialisation des produits agricoles qui s’exerce soit par la vente directe du producteur au consommateur, soit par la vente indirecte à condition qu’il n’y ait qu’un seul intermédiaire comme dans l’épicerie des Engagés.

Les intérêts du circuit court :

Il est évidemment plus écologique.

Acheter en circuit court évite tout un processus de transports polluants. Plus les fruits et légumes auront été produits près de chez vous, mieux ce sera pour limiter votre impact carbone et moins il y aura des chances qu’ils aient été cultivés sous serre ou récoltés trop tôt.

Les fruits ou légumes hors saison et importés sont souvent transportés soit par avion, soit par bateau, puis par camion dans des conditions permettant leur conservation (réfrigération, climatisation). Ces trois moyens de transport sont polluants.

De plus, afin que les fruits ne mûrissent pas trop vite pendant le transport, ils sont recouverts de produits chimiques permettant leur conservation.

Une fois arrivés en France, on accélère le mûrissement afin d’être tous beaux sur nos étals.

De plus, la plupart des produits frais importés sont (sur)emballés pour être protégés des aléas des longs trajets qui les séparent du lieu de production de celui de consommation.

Au contraire, les fruits et légumes locaux peuvent généralement être achetés sans aucun emballage, directement chez le paysan, sur le marché ou dans les épiceries.

D’autre part, grâce aux circuits courts, les fruits et légumes peuvent être récoltés au bon moment, mûrs en ayant toutes les vitamines et minéraux nécessaires pour notre corps.

Il est plus économique.

Des produits au prix juste, pour une rémunération plus équitable des producteurs comparé aux circuits de la grande distribution.

En faisant ses courses grâce à la vente directe et aux circuits courts, on favorise donc une économie durable, plus respectueuse de l’environnement, du rythme des animaux et de la nature dans son ensemble.

Il permet un meilleur goût.

En passant moins de temps à parvenir jusqu’au supermarché, les fruits et légumes ont le temps de pousser à maturité, pour révéler tout leur potentiel dans votre assiette.

Plus un fruit ou un légume reste exposé au soleil, plus il développe ses arômes. C’est pourquoi les fruits sont plus sucrés lorsqu’ils sont cueillis à maturité ; c’est aussi ce temps de développement qui va donner du goût à ta tomate. Au contraire, un légume cueilli plus tôt pour qu’il mûrisse au cours du transport sera fade voire insipide et sans apport nutritif.

Il permet une transparence.

La transparence est un élément central dans le domaine des circuits courts. Choisir de faire ses courses à l’aide des circuits courts, c’est également consommer des produits frais et de saison dont vous pouvez connaître l’origine et les méthodes de culture ou d’élevage.

La traçabilité fait, en effet de plus en plus partie des exigences normales quant aux différents produits qui se retrouvent dans leur assiette : grâce aux circuits courts, vous savez exactement où ont poussé vos légumes ou vos fruits, et dans quelles conditions ont été élevés les animaux que vous consommez.

Les impacts de ne pas manger local 

Les énergies fossiles sont largement utilisées pour le transport, la conservation et les emballages nécessaires à la préservation des aliments.

Conseils pour parvenir plus facilement à manger local et de saison 

La petite astuce : se référer au calendrier des fruits et légumes de saison que vous pouvez retrouver tous les mois sur l’Instagram des Engagés. Ainsi, même les plus petits budgets peuvent manger bio !

  • Adapter ses attentes aux rythmes biologiques, pas besoin de se jeter sur les tomates et les fraises dès le premier rayon de soleil.
  • Apprenons à reconnaître les fruits et légumes qui poussent naturellement sur nos territoires, et leurs périodes de récolte.

Il n’est pas toujours facile de varier ses repas lorsqu’on achète que de saison nous vous préparons quelques recettes à reproduire chez vous.

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Le Miel

Ce produit à l’apparence si pure que nous utilisons pour remplacer le sucre dans les yaourts, pour le lait, la cuisine etc. n’est pas si simple à choisir

Et oui… même dans les produits censés être naturels les industriels parviennent à se faire de la marge et à se faciliter la tâche au maximum sans penser à nous avertir.

En effet, très peu d’entre nous sont au courant mais nombre de miels sont fabriqués grâce à des abeilles nourries au… sirop de GLUCOSE.

Lorsque nous consommons du miel, nous pensons, au-delà du plaisir de manger du miel, de remplacer le sucre blanc transformé mais on finit, sans le savoir, par en manger encore plus transformé et par la même occasion de faire perdre l’habitude de butiner aux abeilles.

Nourrir les abeilles au sirop de glucose, qu’est-ce que cela sous-entend ??

Le changement climatique, l’utilisation de pesticides ont créé un environnement de moins en moins hospitalier pour les abeilles qui les mettent en danger. Les abeilles meurent et le nectar de miel devient de plus en plus rare.

Pour faire face à cela, les apiculteurs ont trouvé comme solution de donner du sucre aux abeilles afin de « stimuler la colonie ».

Normalement, l’abeille butine et fait ses réserves en pollens et gelée royale pour l’hiver.

Mais lorsque les butineuses meurent notamment par une utilisation massive de pesticides, donner du sucre de glucose permet de les remplacer.

Ainsi, plus besoin de butiner, les abeilles ont du sucre en abondance à volonté. De plus, la reine pond des œufs plus rapidement, les ruches se développent beaucoup plus rapidement.

On pourrait penser que cela est plutôt bénéfique pour nos abeilles mais le sucre de glucose n’apporte ni protéine, ni protide, ni glucide, ni acides aminés…bref, tout ce qui fait un bon miel.

Aujourd’hui, ¾ des apiculteurs utilisent cette méthode pour sauver leur ruche mais aussi pour gagner de l’argent sur le dos des abeilles.

D’autres marques parviennent à couper leur miel avec de l’eau, des additifs, des sirops de sucre. On vous l’accorde le miel ressemble à l’or. Mais bon c’est tout le contraire. À l’inverse de Baudelaire ces industriels transforment l’or en boue.

Le bon miel se doit d’être naturel.

Quelques tips des engagés pour bien choisir son miel en fonction de la provenance:

  • Préférez un miel avec l’indication de la provenance exacte
  • Choisissez en avec des labels IGP, AOC, AOP qui certifient les conditions dans lequel le miel est élaboré
  • Préférez toujours le bio et l’indication « récolté et mis en pot par l’apiculteur ».

Les tips des engagés pour choisir son miel en fonction de ses goûts:

Il existe une centaine de variétés de miels différents, avec tout cela il y a de quoi trouver LE miel parfait pour chacun:

  • En règle générale plus le miel est foncé plus il sera puissant, par exemple le miel de châtaignier est marron et plus marqué par une amertume que le miel de lavande qui est blanc et possède un gout plus floral.
  • Le miel qui remplacera le mieux le goût du sucre sans trop altérer le goût des aliments sera le miel de tournesol qui est très doux.

Quelques informations supplémentaires sur le miel:

  • Un miel mono floral est constitué d’au mois 80% d’un nectar de fleur donné.
  • Un miel pur est récolté liquide mais finit toujours par se solidifier au fil du temps. Ce phénomène dépend de la quantité de fructose et de glucose. Les seuls miels qui ne se solidifient jamais sont les industriels qui contiennent de l’eau et différents sucres.

Si votre miel qui traine depuis des années au fond du placard est toujours liquide… un seul conseil: laissez le au placard.

Notre miel fétiche:

Le miel préféré des engagés est celui de Luc Leclerc de la miellerie de la Vallée de l’Automne situé à Bethisy-Saint-Pierre.

Le secret de ce miel est simple : des ruches, une flore diversifiée mais surtout de la passion.

En effet ce miel est pur mais surtout bio ! Les abeilles ne consomment que des produits bio été comme hiver. La miellerie propose des miels de différents goûts.

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